Des chercheurs ont enregistré des températures allant jusqu'à 42 degrés Celsius dans les stations du métro de Londres en pleine montée de la chaleur mondiale. Jonathan Paul, un scientifique à Royal Holloway, University of London, mesure ces conditions à l'aide d'un smartphone équipé d'un thermomètre. Les usagers souterrains font face à une chaleur étouffante sans échappatoire facile.
Jonathan Paul, un chercheur à Royal Holloway, University of London, a documenté la température la plus élevée dans une station du Tube de Londres à environ 42 degrés Celsius, soit 107,6 degrés Fahrenheit. Il utilise son smartphone équipé d'un thermomètre pour prendre ces mesures. Ce niveau de chaleur est suffisamment extrême pour pousser les gens vers des espaces climatisés en surface, mais sous terre, les passagers sont piégés dans des tunnels étouffants au milieu de trains grinçants. Alors que les températures mondiales augmentent, les métros et trains à travers le monde deviennent de plus en plus insupportables, soulignant les défis des systèmes de transport public comme le Underground de Londres.