L'IRS impose un prêt de camion pardonné comme revenu
Le beau-frère d'un homme a vu un prêt de camion de 19 000 $ effacé après une perte d'emploi, mais l'IRS a traité le montant pardonné comme un revenu imposable, entraînant une facture d'impôts de 3 300 $. La famille considère cela comme injuste, soulevant des questions sur les règles de pardon de dettes. Les experts financiers expliquent la politique de l'IRS et les exceptions potentielles.
L'incident a commencé lorsque le beau-frère a perdu son emploi et n'a plus pu payer les versements sur son prêt de camion de 19 000 $. Le prêteur a finalement effacé le solde restant, pardonnant la dette. Cependant, conformément à la loi fiscale, le prêteur a signalé l'annulation de la dette à l'IRS, la classant comme un revenu pour l'emprunteur.
Cela a conduit à une facture d'impôts inattendue de 3 300 $ pour le beau-frère. L'interrogateur, écrivant à MarketWatch, a exprimé sa frustration : « Le prêt de camion de 19 000 $ de mon beau-frère a été effacé, mais l'IRS lui a facturé 3 300 $ d'impôts. Cela semble injuste. » Le montant pardonné est effectivement traité comme un revenu imposable selon les règles de l'IRS, sauf si des exclusions spécifiques s'appliquent, telles que la faillite, l'insolvabilité ou l'endettement qualifié de résidence principale.
Dans ce cas, le beau-frère ne qualifiait pas pour un allégement d'insolvabilité, car ses passifs n'excédaient pas ses actifs au moment du pardon. La planificatrice financière Carolyn McClanahan a noté que « le pardon de dette est considéré comme un revenu parce que le prêteur vous donne essentiellement de l'argent en ne collectant pas ce que vous devez. » Elle a conseillé de vérifier les exceptions et de consulter un professionnel fiscal pour explorer des options comme des déclarations rectificatives si les circonstances le permettent.
L'histoire met en lumière des implications plus larges pour les consommateurs confrontés à des difficultés financières. Pendant les ralentissements économiques, le pardon de prêts peut fournir un soulagement mais vient souvent avec une conséquence fiscale. Le formulaire 1099-C de l'IRS, émis par les prêteurs pour les dettes pardonnées supérieures à 600 $, déclenche ce rapport. Les contribuables dans des situations similaires sont encouragés à consulter la Publication 4681 de l'IRS pour des détails sur les exclusions.
Aucun calendrier pour l'événement n'a été spécifié au-delà de la perte d'emploi précédant le défaut, mais l'évaluation fiscale a suivi l'effacement du prêteur dans la même année fiscale. Cette anecdote personnelle souligne l'importance de comprendre les implications fiscales avant de poursuivre un allégement de dette.