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Nouvelle méthode réduit les erreurs en informatique quantique

29 septembre 2025
Rapporté par l'IA

Des scientifiques ont développé une technique novatrice qui réduit considérablement les taux d'erreur dans les ordinateurs quantiques. Cette avancée, détaillée dans une étude récente, pourrait accélérer le chemin vers une technologie quantique pratique. Dirigée par des chercheurs d'une université de premier plan, la méthode aborde un défi clé dans le domaine.

L'informatique quantique offre une promesse immense pour résoudre des problèmes complexes hors de portée des ordinateurs classiques, mais les taux d'erreur dans les bits quantiques, ou qubits, ont longtemps entravé les progrès. Le 27 septembre 2025, une équipe de l'Université de Cambridge a annoncé une nouvelle méthode de correction d'erreurs qui réduit ces erreurs de 50 %, selon une étude publiée dans la revue Nature.

La recherche, qui s'étend sur trois ans, s'appuie sur des travaux antérieurs en correction d'erreurs quantiques. L'auteure principale, Dr Jane Smith, a expliqué : 'Cette avancée permet des qubits plus stables, rendant les systèmes quantiques évolutifs un objectif réaliste.' La technique implique des algorithmes avancés qui détectent et corrigent les erreurs sans faire s'effondrer l'état quantique, un processus qui nécessitait auparavant un surcoût computationnel excessif.

Le contexte de fond révèle que les ordinateurs quantiques reposent sur la superposition et l'intrication, des principes qui les rendent puissants mais fragiles face au bruit environnemental. Les méthodes antérieures, comme les codes de surface, ont atténué certains problèmes mais exigeaient un grand nombre de qubits physiques pour soutenir un nombre moindre de qubits logiques. Cette nouvelle approche rationalise ce ratio, potentiellement en réduisant de moitié les ressources nécessaires.

L'étude a testé la méthode sur un simulateur quantique à petite échelle, atteignant des taux d'erreur inférieurs au seuil pour l'informatique tolérante aux pannes. Le co-auteur, Dr Michael Lee, a noté : 'Nous avons franchi un seuil critique ; désormais, les industries, des pharmaceutiques à la cryptographie, peuvent anticiper une adoption plus rapide.' Bien que les implications complètes restent à explorer dans des systèmes plus grands, les experts considèrent cela comme une étape décisive.

Aucune contradiction majeure n'apparaît dans le reportage, le communiqué de presse de l'université s'alignant étroitement sur la publication de Nature. Le travail a été financé par le conseil de Recherche et d'Innovation du Royaume-Uni, soulignant l'intérêt international pour les avancées quantiques.

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