Des chercheurs développent une méthode de capture du carbone alimentée par la lumière du soleil
Les scientifiques ont dévoilé un nouveau photocatalyseur qui utilise la lumière du soleil pour convertir le dioxyde de carbone en carburant utilisable, offrant un outil prometteur pour lutter contre le changement climatique. La percée, détaillée dans une étude publiée le 3 octobre 2025, atteint une haute efficacité sans nécessiter d'entrées d'énergie supplémentaires.
Le 3 octobre 2025, une équipe de l'Université de Californie, dirigée par le Dr Elena Rivera, a annoncé une avancée révolutionnaire dans la technologie de capture du carbone. L'innovation implique un nouveau photocatalyseur fabriqué à partir de matériaux abondants comme le dioxyde de titane modifié avec des nanoparticules de cuivre. Ce matériau exploite la lumière du soleil pour convertir directement le CO2 atmosphérique et l'eau en méthanol, un carburant précieux et une matière première chimique.
Le processus imite la photosynthèse mais avec une efficacité bien supérieure. Selon l'étude, le catalyseur atteint un taux de conversion de 92 % dans des conditions solaires standard, surpassant largement les méthodes précédentes qui nécessitaient des températures élevées ou de l'électricité. 'Cette technologie pourrait transformer la façon dont nous abordons les émissions de gaz à effet de serre, transformant un polluant en ressource', a déclaré le Dr Rivera dans le communiqué.
Le contexte de fond révèle que les méthodes actuelles de capture du carbone, telles que celles utilisant des amines, sont intensives en énergie et coûteuses, ne capturant que environ 90 % du CO2 des sources ponctuelles comme les centrales électriques. Cette nouvelle approche fonctionne dans des conditions ambiantes, pouvant réduire les coûts jusqu'à 70 % et permettre un déploiement dans des environnements isolés ou décentralisés. La recherche s'appuie sur des travaux antérieurs en photosynthèse artificielle, accélérés par des avancées récentes en nanomatériaux.
Bien que la deuxième source discute d'une avancée liée mais distincte en informatique quantique à la même date, elle ne concerne pas directement cet événement de capture du carbone et a été écartée pour se concentrer uniquement sur l'innovation spécifiée. Aucune contradiction n'a été notée entre les sources sur ce sujet ; l'article quantique confirme la chronologie mais traite de domaines scientifiques différents.
Les implications sont significatives pour l'atténuation du climat. Si elle est mise à l'échelle, la technologie pourrait compenser les émissions industrielles équivalentes à 10 % des totaux mondiaux d'ici 2035, selon des modèles préliminaires. Cependant, des défis persistent en termes de stabilité à long terme et de production à grande échelle. L'équipe prévoit des tests sur le terrain en 2026.
Ce développement souligne les efforts continus en énergie durable, offrant une vue équilibrée : un potentiel optimiste tempéré par des obstacles pratiques.