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L'ingérence de Trump soulève des inquiétudes sur l'indépendance du DOJ

2 octobre 2025
Rapporté par l'IA

L'ancien directeur du FBI James Comey a averti que les actions de Donald Trump érodent le pare-feu entre la Maison Blanche et le Département de la Justice. Des analyses récentes mettent en lumière des risques potentiels pour les normes démocratiques si l'influence politique l'emporte sur les processus légaux. Les experts discutent des implications pour les enquêtes en cours et l'intégrité institutionnelle.

Dans un article récent, The Nation a détaillé comment James Comey, limogé par le président Trump en 2017 au milieu de l'enquête sur la Russie, voit les développements actuels comme une continuation des efforts pour saper le DOJ. Comey a déclaré : 'Le Département de la Justice doit rester indépendant ; toute brèche invite à l'autoritarisme.' Cela survient alors que Trump, candidat à nouveau, a publiquement appelé à des enquêtes sur ses rivaux politiques, faisant écho à ses demandes passées de 'l'enfermer' concernant Hillary Clinton.

Le rapport de NPR du 1er octobre 2025 explore les conséquences du démantèlement du pare-feu Maison Blanche-DOJ, une norme établie après le Watergate pour prévenir les excès exécutifs. L'article cite la chercheuse juridique Barbara McQuade : 'Quand le pare-feu tombe, les poursuites deviennent des outils de vengeance plutôt que de justice.' Il note que pendant le premier mandat de Trump, le procureur général Jeff Sessions s'est récusé de l'enquête sur la Russie, entraînant des tensions, et la nomination du procureur général par intérim Matthew Whitaker a contourné la confirmation du Sénat, soulevant des alarmes.

L'épisode de podcast de Slate de septembre 2025, 'What Next', met en vedette l'animatrice Lizzie O'Leary interviewant des experts sur le schéma de Trump pour faire pression sur le DOJ. Une invitée, l'ancienne procureure Joyce Vance, a déclaré : 'La rhétorique de Trump n'est pas seulement du bla-bla ; c'est un plan pour weaponiser le système judiciaire.' La discussion couvre les chronologies : en 2018, Trump a tweeté des critiques sur l'enquête Mueller, et en 2020, il a suggéré des pardons pour ses alliés. Aucune contradiction directe n'apparaît dans les sources, bien que The Nation mette l'accent sur le contexte historique tandis que NPR et Slate se concentrent sur les risques prospectifs pour 2025.

Le contexte de fond révèle le rôle du DOJ dans le maintien de l'État de droit, le pare-feu assurant des décisions apolitiques. Les implications incluent une érosion de la confiance publique, des sondages cités par NPR montrant que 60 % des Américains s'inquiètent d'une justice politisée. Des perspectives équilibrées notent que les défenseurs de Trump plaident pour la responsabilité, mais les sources s'accordent sur le fait que la question centrale est de préserver les sauvegardes institutionnelles sans hypothèses supplémentaires.

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