Prison
 
Nicolas Sarkozy incarcéré à la prison de la Santé ce mardi
Jean Martin Image générée par IA
L'ancien président Nicolas Sarkozy doit être écroué ce mardi matin à la prison de la Santé à Paris, suite à sa condamnation à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs dans l'affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Placé à l'isolement pour des raisons de sécurité, il entend déposer immédiatement une demande de mise en liberté en raison de son appel. Des figures politiques comme Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont exprimé leur soutien humain, tandis que des critiques portent sur l'exécution provisoire de la peine.
Robinho nie les privilèges et détaille sa routine en prison à Tremembé
L'ancien footballeur Robinho, condamné pour viol collectif, a décrit dans une vidéo sa routine à la prison de Tremembé à São Paulo, niant tout privilège. Il a déclaré être traité comme les autres détenus et a souligné l'accent mis sur la réhabilitation. Le témoignage a été publié par le Conseil communautaire de Taubaté sur YouTube.
Gérald Darmanin visite Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé
Le ministre de la justice, Gérald Darmanin, a rendu visite à l'ancien président Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé mercredi soir, confirmant une annonce précédente. L'entrevue, en présence du directeur de l'établissement, a duré de 19 heures à 19 h 45. Cette visite suscite des critiques sur l'indépendance de la justice.
Les Lobas, équipe féminine de hockey formée dans la prison de San Martín
Dans l'Unité Pénitentiaire N°47 de San Martín, un groupe de détenues a formé l'équipe de hockey Les Lobas, remplaçant la routine de l'enfermement par des entraînements et des matchs. Le sport leur offre des rêves qui vont au-delà des barreaux. 'Nous avons changé le bruit des barreaux pour celui du ballon', expriment-elles.
Deux députés LFI échouent à rencontrer Sarkozy en prison
Deux députés de La France insoumise ont tenté de visiter le quartier d'isolement de la prison de la Santé pour rencontrer Nicolas Sarkozy, mais leur demande a été refusée. Accompagnés de journalistes, Ugo Bernalicis et Danièle Obono ont invoqué leur droit de visite parlementaire, provoquant des critiques pour «voyeurisme». Cet incident a entraîné le report des visites de la famille et des avocats de l'ancien président.