Elon Musk a annoncé que la version 14.2 de Full Self-Driving de Tesla permettra un déploiement étendu au public. La confirmation est venue en réponse aux éloges d'un testeur précoce soulignant les améliorations de la version précédente. Cette mise à jour s'appuie sur les avancées récentes dans le logiciel de conduite autonome de Tesla.
Le 18 octobre 2025, le PDG de Tesla, Elon Musk, a confirmé via un post sur X que la version 14.2 du logiciel Full Self-Driving (FSD) de l'entreprise soutiendra une utilisation étendue parmi les propriétaires de Tesla. La déclaration répondait à AI DRIVR, un testeur FSD de longue date, qui a partagé des retours positifs sur la version 14.1.2. « 95 % des changements de voie indécis et des freinages ont été corrigés dans FSD 14.1.2. Je n'ai pas touché mon volant depuis deux jours. Je pense que c'est le moment, Tesla AI, » a écrit AI DRIVR, obtenant le soutien d'autres conducteurs Tesla qui ont noté des affinements substantiels.
Musk a répondu succinctement : « 14.2 pour une utilisation étendue. » Cet échange signale le plan de Tesla d'élargir l'accès à FSD V14 au-delà des testeurs précoces et des propriétaires sélectionnés, après le déploiement initial de la version 14.1 la semaine dernière. Ce lancement a marqué un progrès significatif, offrant une conduite plus fluide et plus humaine dans un trafic complexe, bien que certains freinages brusques persistent.
La version 14.1.2 a abordé ces problèmes, introduisant le profil de vitesse « Mad Max » pour des vitesses plus élevées et des changements de voie plus assertifs. Le responsable de l'IA chez Tesla, Ashok Elluswamy, a expliqué que le mode Mad Max cible le trafic diurne congestionné, aidant les navetteurs quotidiens. Musk a teasé des améliorations supplémentaires dans les versions 14.2 et 14.3, les décrivant comme rendant le système « presque sentant. »
De plus, le Cybertruck de Tesla est prévu pour obtenir les capacités complètes de FSD V14 ce mois-ci, comme confirmé par le chef de l'IA de l'entreprise. Ces itérations rapides reflètent la dépendance de Tesla aux réseaux neuronaux de bout en bout pour progresser vers une autonomie sans supervision.